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Tous mes petits-copains meurent

J’ai été réveillée par quelqu’un qui frappait à ma porte au milieu de la nuit. Délicatement au début,
puis plus fort, ce qui m’a surprise. Je me suis levée et j’ai allumé la lumière et mis une robe de
chambre. Je me suis lentement dirigée vers la porte, me demandant qui ça pouvait être à une telle
heure. Alors que je me rapprochais, j’ai entendu :
« Mlle Sydney Davis, c’est la police, ouvrez. » Je me suis arrêtée net. Ce n’était pas la première fois
que la police frappait à ma porte la nuit, c’était la troisième. J’étais inquiète, et j’espérais, je priais
pour que ce ne soit pas une mauvaise nouvelle.
« Mlle Davis » a répété le policier. Alors j’ai effacé mon air effrayé de mon visage et j’ai ouvert aux
deux policiers. J’étais totalement dévastée par ce qu’ils ont ensuite dit.

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« Vous feriez mieux de nous accompagner au poste de police » a dit l’un d’eux.
« Y a-t-il un problème, monsieur l’agent ? Il est assez tard. » ai-je répondu.
« Ryan Miller a été retrouvé mort dans son appartement et vous étiez la dernière personne avec qui
il a été vu. Nous discuterons de tout le reste au poste. » a-t-il répondu.
Mon cœur a tressailli. « Pas encore ! » me suis-je dis, et pendant une seconde j’ai même cru que
j’étais maudite. Mais comme les policiers attendaient, je n’ai même pas eu le temps de ressentir
quoi que ce soit ni de pleurer. Je me suis excusée pour aller m’habiller de manière plus convenable.

Alors je me suis rapidement habillée, j’ai attrapé mon sac et j’ai fermé la porte de mon appartement.
Nous sommes montés dans la voiture de police et sommes allés au poste. Pendant le trajet, j’étais de plus en plus nerveuse. Je ne voulais rien dire, mais je ne pouvais plus garder le silence :
« Est-ce que j’ai des ennuis ? » ai-je demandé.
« Ça dépend de si vous êtes responsable. Vous n’êtes pas en état d’arrestation, nous devons juste
vous poser des questions le plus tôt possible. » a répondu l’un des policiers.
En entendant ça, j’étais un peu soulagée. Je sais que c’était égoïste étant donné qu’on avait retrouvé mon petit-ami mort, mais ce n’était pas la première fois. C’était le troisième garçon avec qui je sortais qui était retrouvé mort, à croire que j’étais maudite. Et à chaque fois, j’étais de plus en plus distante.

Nous sommes arrivés au poste et ils m’ont tout de suite emmenée dans la salle d’interrogatoire. J’ai attendu là quelques minutes avant que l’inspecteur n’arrive.
« Voulez-vous quelque chose à boire ? m’a-t-il demandé. Il m’avait aussi interrogée lors des deux
enquêtes précédentes.
« Non, merci, ça ira » ai-je répondu.
« Eh bien, Sydney, vous connaissez la chanson. Voulez-vous un avocat ? » a-t-il demandé ensuite.
« Non, je suis prête » ai-je dit.
« Racontez-moi votre soirée, en détails » a-t-il dit.
« Nous sommes allés dîner comme d’habitude Chez Basil, avons fait une petite promenade, et
ensuite il m’a déposée chez moi à 20h30 environ ; il m’a accompagnée jusqu’à la porte de mon
appartement et il est parti. C’est la dernière fois que je l’ai vu. » lui ai-je expliqué innocemment.
Il m’a posé plusieurs autres questions, telles que « Lui avais-je déjà demandé de l’argent ? Quel
était le travail de Ryan ? Avais-je déjà été chez lui » ce qui n’avait aucun sens pour moi. Ils devaient
penser que j’étais coupable parce que j’en voulais à son argent ou quelque chose comme ça.

Après environ une heure et demie, l’interrogatoire était fini.
« Je voudrais que vous passiez au détecteur de mensonges demain, si ça ne vous dérange pas. » a-t-il dit alors que j’étais sur le point de partir.
Je n’avais rien à cacher, alors j’ai tout de suite répondu « D’accord ! »
Puis un policier m’a ramenée chez moi, il était presque 3 heures du matin et j’étais extrêmement
fatiguée alors je suis tout de suite allée me coucher.

Le lendemain après-midi, je suis allée au poste pour passer au détecteur de mensonges. J’étais
préparée mais j’étais un peu nerveuse parce que je n’avais jamais rien fait de ce genre avant. « Et si
je fais une connerie et que je me fais arrêter ? » pensais-je. Pendant un instant, j’ai regretté de ne pas avoir appelé mon avocate.

L’inspecteur m’a fait asseoir sur une chaise et un spécialiste du détecteur de mensonges a mis des
câbles autour de mes bras, sur mon torse et mon ventre. Les câbles étaient reliés à une machine qui était connectée à un ordinateur.

Après que le spécialiste ait fini de me préparer pour le test, l’inspecteur est venu m’expliquer la
procédure.

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30 октября 2020 г. 19:00:07
00:10:47
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