Mes parents me forcent à voler pour eux

"Par quelle voie devons-nous commencer ?" Maman a demandé alors que nous entrions dans le supermarché.
"Snacks !" Je l'ai entraînée avec joie.

Une fois sur la voie du snack, maman a regardé autour d'elle avant de me faire un signe de tête. J'ai rapidement ouvert ma boîte à déjeuner et y ai jeté quelques snacks avant de claquer le couvercle. Peu après, nous nous sommes dirigées vers le rayon des jus de fruits et j'ai placé six boîtes de jus de fruits dans ma trousse. Ensuite, maman a pris des fruits, les a payés et nous sommes sorties du supermarché.

Je sais ce que vous pensez, mais maman m'avait dit qu'elle avait parlé avec le directeur, M. Hillman, et qu'il l'avait autorisée à prendre quelques trucs et que, lorsqu'elle serait payée, elle payerait pour ses affaires. Nous devions nous cacher en le faisant parce que maman m'avait dit que les employés était jaloux parce qu'ils n'avaient pas les mêmes privilèges que nous, alors nous devions faire attention à ne pas les laisser nous voir.
Allez les gars, lâchez-moi un peu. J'avais huit ans et c'était ma mère, que pouvais-je croire d'autre ? Mais ce n'était que le début de mes folles aventures avec ma mère. Si vous voulez savoir comment tout s'est terminé à la fin, continuez à regarder.

En grandissant, j'ai interrogé maman sur nos étranges habitudes. Elle a dit qu'elle ferait tout ce qu'il fallait pour que j'aie un toit sur la tête, des vêtements sur le dos et de la nourriture dans l'estomac. Pour aggraver les choses, maman a épousé Harold, un homme qui l'a encouragée dans ce mode de vie criminel.

Harold était un homme de 50 ans qui ne pouvait pas garder un emploi pendant plus de trois mois. Il buvait et jurait beaucoup. Je ne comprenais pas ce que maman voyait dans un tel type.

Cependant, un jour, Harold s'est bien habillé avec un costume trois pièces et une mallette. Il pouvait passer pour un homme d'affaires prospère, ce qui lui permettait de repérer facilement les endroits à voler. Quand j'ai eu 16 ans, j'ai dit à maman et Harold que je ne voulais plus voler.

"Et où crois-tu que tu vas vivre si tu ne voles plus ?" Harold avait les yeux fixés sur la télé en faisant défiler les chaînes.
"Qu'est-ce que tu veux dire ?"

Maman était sur le point de répondre mais Harold l'a interrompue. Ses yeux sombres ont rencontré les miens et j'ai frissonné, "Si tu ne gagnes pas ta vie, je vais personnellement emballer tes affaires et les jeter sur le trottoir."

Sans un autre mot, il s'est reconcentré sur la télévision. J'ai tourné mon attention vers maman mais elle a tourné la tête. Je suis partie et je suis allée dans ma chambre.

Je me suis sentie piégée. Je n'avais personne à qui me confier et je n'avais pas d'autre choix que de faire ce que maman et Harold voulaient si je voulais vivre en paix avec eux, puisque vivre dans la rue n'était pas attrayant.

J'ai eu que des A à l'école parce que je ne voulais pas voler pour le reste de ma vie, je voulais une vie normale ou du moins quelque chose d'aussi proche de normal que possible. J'ai travaillé pour obtenir une bourse complète dans n'importe quelle école qui était loin de maman, d'Harold et de ce type de vie. J'aime maman mais quel genre de mère force son enfant à voler?

Je suis sûre que vous vous demandez si je me suis fait prendre. Pour être honnête avec vous, je me suis fait prendre et cela a transformé ma vie pour toujours.

Harold m'a montré la photo d'une montre, le nom du magasin, Morris Jewellery, et m'a donné l'ordre de la voler. Le coût de la montre était de 23 000 dollars.

En entrant dans le magasin, à l'entrée j'ai vidé un peu d'eau d'une petite bouteille qui était cachée dans la poche de ma veste. Je me suis approchée d'une des vendeuses et lui ai demandé de voir certaines de ses montres.

"J'attends ma mère, nous cherchons un cadeau pour mon père pour son anniversaire."

Elle a souri et je lui ai montré les montres qui m'intéressaient, y compris celle que Harold voulait que je vole. Elle a placé toutes les montres sur le comptoir et a expliqué les différents détails de chaque montre.

Soudain, un petit cri a été entendu. La vendeuse et moi nous sommes tournées dans la direction du cri, qui était à l'entrée. Une femme âgée était sur le sol. L'employée s'est précipitée pour aider la femme et j'ai rapidement glissé la montre dans ma poche et placé une fausse montre à sa place avant de prêter assistance à l'employée et à la vieille dame. Après avoir pris soin de la dame et obtenu ses informations, l'employée et moi sommes retournées au comptoir.

Après quelques instants de réflexion, j'ai remercié la vendeuse, lui ai dit que je reviendrais avec ma mère dans quelques minutes et j'ai quitté le magasin en vitesse.

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