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L'Imperiale, hymne à Napoléon III (Berlioz)

L'Imperiale fut composée par Hector Berlioz (paroles du capitaine Lafont) en 1854 pour Napoléon III, à l'occasion de l'Exposition universelle de Paris (1855). L'Imperiale fut interprétée pour la première fois le 15 novembre 1855 par plus de 1200 musiciens et choristes, à la clôture de l'Exposition.

Paroles :
"Du peuple entier, les âmes triomphantes
Ont tressailli comme au cri du destin,
Quand des canons les voix retentissantes
Ont annoncé le jour qui vient de luire enfin,
Ont annoncé le jour qui vient de luire enfin.

Emportant l'oriflamme
Dans ses ongles d'airain,
L'aigle aux ailes de flammes,
Arbitre souverain,
Ouvre sa profonde paupière
Aux flots de l'astre de lumière
Et reparaît aux cieux ardents et radieux.

Du peuple entier, les âmes triomphantes
Ont tressailli comme au cri du destin
Quand des canons les voix retentissantes
Ont annoncé le jour qui vient de luire enfin,
Ont annoncé le jour qui vient de luire enfin.

L'aigle aux ailes de flammes
Remonte dans les cieux
Emportant l'oriflamme
D'un élan radieux.
Oui l'aigle aux ailes de flammes
Reparaît aux cieux.

Car du sépulcre est sorti,
Comme autrefois le Messie,
L'Imperiale dynastie
Que Dieu même suscita
Et que la gloire enfanta.

Refrain :
Dieu qui protège la France,
Veille sur son Empereur.
Des bons il est l'espérance
Et des méchants la terreur.
Grand Dieu veille,
Grand Dieu veille sur l'Empereur.
Grand Dieu veille sur l'Empereur.
Vive l'Empereur, vive l'Empereur.
Ô qu'à jamais l'Histoire
Inscrive avec honneur
Au temple de mémoire,
Au temple de mémoire,
Ce mot : Libérateur.

(refrain)

Ô race révérée,
Race auguste et sacrée,
En qui nous vivons tous,
Règne à jamais sur nous,
Par le peuple et Dieu sacré
Du temps que te fait la durée,
Du sort que te font les hasards.
Race auguste de nos Césars,
Du sort, du sort que te font les hasards.

Dieu qui protège la France,
Veille sur son Empereur.
De son immortelle auréole
Jamais front ne fut couronné,
Comme dans un vivant symbole,
Le peuple en toi s'est incarné.
Tu le guides par ton génie,
Il te soutient par sa valeur.
Et c'est toucher, c'est toucher à la patrie,
Oui c'est toucher, c'est toucher à la patrie,
Que de toucher à l'Empereur.

(refrain)

(premier couplet)."

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1 декабря 2013 г. 20:07:20
00:09:29
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