Les musiciens, complices d’un soir, s’écoutent et se répondent. La basse groove doucement, la batterie caresse plus qu’elle ne frappe, et la guitare solo, subtile, offre quelques éclats de lumière. Le public, conquis, balance la tête, emporté par cette reprise à la fois respectueuse et libre, qui redonne vie à l’esprit poétique et rebelle de Bashung.
Un moment suspendu, où la chanson devient un hommage vibrant à la liberté, à la sensualité et à la tendresse contenue dans chaque mot d’« Osez Joséphine ».
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