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Liszt - Hungarian Rhapsodies 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15 + P° (Cent. rec. : Georges Cziffra)

Franz Liszt (1811-1886) Complete Hungarian Rhapsodies by Georges Cziffra / NEW MASTERING .
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-03:46)
No. 2 in C-Sharp minor / 1957 (00:00)
No. 2 in C-Sharp minor / 1974 (10:11)
Recorded in 1957-58
No. 1 in E Major (19:17)
No. 3 in B-Flat Major (31:58)
No. 4 in E-Flat Major (36:22)
No. 5 in E minor, "Heroide elegiaque" (41:43)
No. 6 in D-Flat Major (50:46)
No. 7 in D minor (57:45)
No. 8 in F-Sharp minor (1:02:55)
No. 9 in E-Flat Major, "Pesther Carneval" (1:09:35)
No. 10 in E Major, "Preludio" (1:21:19)
No. 11 in A minor (1:26:22)
No. 12 in C-Sharp minor (1:31:40)
No. 13 in A minor (1:41:46)
No. 14 in F minor (1:50:19)
No. 15 in A minor, "Rakoczy March » (2:02:31)
Rhapsodie Espagnole / Spanish (2:07:19)

Recorded in 1974
No. 6 in D-Flat Major (2:19:43)
No. 8 in F-Sharp minor (2:26:14)
No. 9 in E-Flat Major, "Pesther Carneval » (2:32:06)
No. 10 in E Major, "Preludio" (2:42:14)
No. 11 in A minor (2:47:12)
No. 12 in C-Sharp minor (2:52:23)
No. 13 in A minor (3:01:17)
No. 14 in F minor (3:09:48)
No. 15 in A minor, "Rakoczy March" (3:20:46)

Piano : Georges Cziffra
Recorded in 1957-58,1974, at Salle Wagram / Paris
New Mastering in 2020 by AB for CMRR

Nous présentons d’abord pour les novices la Rhapsodie la plus célèbre, la Numéro 2 en Do# mineur. Elle a été enregistré à deux périodes différentes de la vie du virtuose hongrois George Cziffra et les deux styles d’approches sont également différents. Le premier cycle date de la fin des années 50. Il est d’une poésie infinie. Il met davantage en valeur le lyrisme des Rhapsodies. Le deuxième est plus nerveux et violent dans les attaques et met davantage en valeur l’aspect technique et rythmique. Dans tous les cas, les enregistrements de Cziffra, le grand Champion des Rhapsodies, sont indispensables à connaître pour toute personne s’intéressant à Liszt ou plus globalement à la musique.

*COMMENTAIRE COMPLET : VOIR PREMIER COMMENTAIRE ÉPINLGLÉ.*

*Franz Liszt. Rhapsodies Hongroises.* Le 21 décembre 1839, Liszt faisait son entrée à Pesth : il y fut accueilli en héros et les concerts qu'il donna en janvier de l'année suivante déclenchèrent un enthousiasme extraordinaire. L'artiste avait su faire vibrer la fibre nationale par la seule force de son talent, notamment lors de son improvisation débridée sur le thème de la marche de Rakoczy. Son élévation à la dignité de « citoyen d'honneur » de la ville de Pesth était-elle le signe de son « hungarisation » définitive ? Observateur né et porteur d'intuitions géniales, il avait cependant pris soin d'emmagasiner ce qu'il croyait être le chant profond de la Hongrie et qui n'était en réalité que des approximations tziganes. A l'occasion de son voyage suivant, en 1846, il sentit tout le parti esthétique qu'il pourrait tirer de cette musique séduisante et capricieuse. L'idée des Rhapsodies Hongroises était née, et, avec elle, cette exaltation de la mélodie populaire qui devait faire la fortune de Brahms et de Dvorak ainsi que des musiciens russes de la seconde moitié du XIXe siècle.

Si l'idée rhapsodique germait dans l'esprit de Liszt depuis 1838, entretenue par la composition des mélodies hongroises d'après Schubert, les premières oeuvres ont vu le jour à partir de 1847, ce qui représente un temps de maturation assez important. Liszt avait pris pour modèles ces mélodies populaires que jouait à merveille celui que l'on surnommait le Rossini du violon, Janos Bihari, et qui n'avaient rien de tzigane. Il ne dissimulait d'ailleurs pas cette imprégnation comme en témoigne cette déclaration faite à son ami Gabriel Matray, directeur du Conservatoire de Musique de Budapest : « Pendant mon séjour en Hongrie et en Transylvanie, les mélodies hongroises devinrent pour ainsi dire le sang de mon âme : quand plusieurs orchestres les exécutaient devant moi, je m'en délectais. Que de fois m'en suis-je grisé ! Elles me plongeaient dans l'émerveillement. L'admirable et magnifique kaléidoscope : tristesse, chagrin, souffrance, profondeur d'esprit, pathétique, grâces, rêverie, gravité, badinerie, mélancolie, ennui : tout y défile. C'est aussi mon devoir d'exprimer la poésie intime, puissante, libre, riche et pleine d'élévation de notre musique nationale. L'ai-je fait d'une manière satisfaisante? La preuve en sera mon oeuvre de plusieurs années, laquelle paraîtra au cours de cahiers sous le titre : Rhapsodies Hongroises en 4 cahiers, chacun de 10-15 feuillets... »

Liszt - Hungarian Rhapsodies Nos.2,1,3,4,5,6 Orchestra + P° (reference recording : Willi Boskovsky) : https://www.youtube.com/watch?v=ZpLtqLc3DT0&list=PL3UZpQL9LIxPwj2Gx5zMNTVdzNsUMalnE&index=3

Ferenc Liszt PLAYLIST (reference recordings) : https://www.youtube.com/playlist?list=PL3UZpQL9LIxPwj2Gx5zMNTVdzNsUMalnE

Видео Liszt - Hungarian Rhapsodies 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15 + P° (Cent. rec. : Georges Cziffra) канала Classical Music/ /Reference Recording
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Информация о видео
2 мая 2020 г. 18:31:50
03:26:19
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