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Les parents fortunés du garçon de l’école m’ont proposé beaucoup d’argent pour sortir avec lui

Mon Dieu ! J’ai été accepté dans l’université de mes rêves ! !” s’est écrié mon grand frère Jeffrey. Ma mère, mon père et ma petite sœur ont applaudi et l’ont félicité. Je restais là figée par le choc et la tristesse.

“Maman, Papa, vous venez juste de perdre votre travail. Comment allez-vous faire pour payer ses frais de scolarité ?” Ai-je dit, ramenant tout le monde à la réalité.

La pièce est devenue silencieuse.

“Elle a raison mon fils. Je ne sais même pas comment on va faire pour continuer à payer l’école spécialisée d’Ari.” a dit mon père.

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Ma petite sœur Arianne a une paralysie cérébrale et elle a besoin de soins particuliers et d’une grande attention. Après que mes parents aient tous deux perdu leur travail, tout semblait s’écrouler. Comment étions-nous supposer joindre les deux bouts ?

"Ça va aller. Je vais continuer à travailler au café-restaurant. Et je pourrais aller à l’université un de ces jours.” mon frère a dit doucement.

J’avais le cœur brisé pour lui parce que je savais qu’il serait brillant à l’université. Il a toujours été le premier de sa classe et je savais qu’il gagnerait sûrement assez d’argent pour prendre soin de toute la famille une fois qu’il aurait fini ses études.

J’ai poussé un soupir puis je suis allée me coucher.

Le jour suivant était un dimanche et habituellement j’emmenais Ari au parc pour prendre un peu l’air. J’ai étalé une couverture au sol et j’ai sorti ses casse-croûtes favoris ainsi que quelques petits jouets. Elle applaudit d’excitation. Après un moment, j’ai remarqué Monsieur et Madame Medland assis sur un banc quelques mètres plus loin. Ils nous regardaient avec attention.

Naturellement, ça m’a foutu les jetons. Les Medland étaient les plus fortunés de notre voisinage très superstitieux. Ils vivaient dans le Manoir des Medland qu’ils avaient hérité de leurs riches ancêtres. Bien qu’ils étaient aisés, personne dans notre ville ne voulait avoir affaire avec eux. Il y avait une rumeur qui disait que quiconque s’approchait de trop près de leur manoir, il disparaissait. Les employés qui travaillaient là-bas par le passé ont aussi affirmé avoir entendu des bruits étranges et vu de drôles de silhouettes à différents moments de la journée. Certains ont fui de peur dès leur premier jour de travail. Tout le monde croyait que la maison était hantée et que la famille Medland avait quelque chose à voir là-dedans.

Soudainement, ils ont quitté leur banc et ont marché dans notre direction. J’étais effrayée. Que me voulaient-ils ?

“Bonjour Zaria.” a dit Madame Medland.

“Bonjour. Comment savez-vous qui je suis ?” ai-je demandé d’une voix tremblante.

“C’est une petite ville très chère." a-t- elle répondu.

"Connais-tu notre fils Elliot ?” m'a demandé Monsieur Medland.

“Hmm, oui. On est dans la même école.” ai-je dit.

Comme tout le monde à l’école, j’évitais Elliot. En fait, il était le garçon le moins populaire. Tout le monde le fuyait depuis la maternelle à cause de la drôle de réputation de sa famille. Parfois je me sentais désolée pour lui mais j’étais également superstitieuse et j’avais trop peur de lui parler !

“ Et bien, nous savons que ta famille traverse des moments difficiles et on aimerait vous aider. Personne ne veut être l’ami d’Elliot et maintenant il est adolescent. Nous pensons qu’il est grand temps qu’il ait de la compagnie, tu sais… comme une petite amie. Cependant les filles le fuient à cause de ces rumeurs idiotes qui sont apparues il y a quelques années. Aucune d'entre elles n’est vraie au passage. Enfin bref, nous sommes venus te parler pour te demander si tu voulais bien sortir avec notre fils.” a dit Monsieur Medland.

“Quoi ?” j’ai répondu, abasourdie. C’était en effet, la chose la plus bizarre qu’on ne m’ait jamais demandé.

“On te paiera.” continua-t-il. “Une fois par semaine. Aller, s’il te plait… il a vraiment besoin d’un ami. ”

J’étais furieuse et j’ai commencé à lui crier dessus. “Si vous pensez que vous pouvez me payer pour...” Mais avant que je puisse finir ma phrase il me coupa “100 000 dollars par semaine.” et me fit un clin d'œil.

Je restais bouche bée. Avec tout cet argent je pouvais sauver ma famille. Je n’ai pris que quelques minutes avant de finalement accepter.

Ils m’ont dit qu’ils me feraient un virement sur mon compte bancaire une fois par semaine et qu’ils continueraient tant que je sortirais avec leur fils.

Je suis rentrée à la maison avec ma petite sœur, en souriant tout le long du chemin.

“ Tu vas pouvoir aller dans une école encore meilleure !” lui ai-je dit tandis qu’elle rigolait.

La semaine suivante, j’ai commencé à poursuivre Elliot. J’avais décidé que j’allais lui rentrer dedans “accidentellement” lorsqu’il serait à son casier. J’ai ravalé ma peur et l’ai fait.

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13 января 2021 г. 15:00:05
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